Citation film Le petit monde de don camillo
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Peppone : C'est un immeuble, c'est pas un dirigeable.


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Jésus : Et tu t'es laissé faire ? Tu as raison, Don Camillo, bien heureux les pacifiques.
Don Camillo : Oui, c'est à dire... J'avais à la main une douzaine d'oeufs et je cherchais à les préserver...
Madame Christina : Qui es-tu, toi ?
Gina : Je suis Gina. Gina Filotti. Vous ne me reconnaissez pas ?
Madame Christina : Gina ? Par exemple ! Et maintenant, c'est moi qui lève la tête pour te regarder !
Délégué communiste : Mais qu'est-ce que c'est ?
Peppone : C'est Don Camillo.
Délégué communiste : Mais il faut le faire taire !
Peppone : C'est facile. Il suffit de bombarder le clocher avec de l'artillerie lourde.
Peppone : Oui, mais il faudra être sûr de l'avoir au premier coup. Autrement, il se met à tirer, lui aussi, et ça fait du vilain.
Gina : Et qu'est-ce que tu crois que je suis ? Une chèvre ?
Mariolino : Tu en avais l'air d'une quand tu es partie.
Peppone : Camarades ! Un camarade de plus !
Une femme de la foule : Il est beau ! Il te ressemble !
Peppone : Des nèfles ! Allez arroser vos géraniums !
Peppone : J'aurais mieux fait de vous laisser avancer. J'aurais eu le plaisir de voir sauter le plus noir des réactionnaires.
Don Camillo : Oh, je me serais toujours arrêté à temps !
Peppone : Pourquoi ?
Don Camillo : Parce que je savais que dans la cave de la "Maison Vieille", y avait 6 bidons d'essence, 95 fusils, 300 grenades, 2 caisses de munitions, 7 mitraillettes et 3 quintaux d'explosifs. Ça t'étonne ? J'ai fait l'inventaire de ton dépôt, moi. Après, j'ai mis le feu à l'essence.
Peppone : Je devrais vous assommer.
Don Camillo : Oui, mais m'assommer, c'est pas facile.
Don Camillo : C'est moi. Quand la révolution prolétarienne éclatera, tiens-toi loin du presbytère.
Sacristain : En le voyant sortir de l'église, je croyais qu'il venait de... de se confesser !
Don Camillo : Se confesser ?
Sacristain : Ouais !
Don Camillo : SE CONFESSER ?
Sacristain : Ouais !
Don Camillo : Attends, je vais lui donner l'absolution, moi !
Jésus : Camillo, jette ça !
Don Camillo : Comment ?
Jésus : Jette ça ! C'est très vilain, Camillo.
Don Camillo : C'est pas du chêne, Seigneur, c'est du peuplier. C'est léger, c'est souple...
Jésus : Va jeter ça dehors et ne pense plus à Peppone.
Maria Bottazzi : C'est pour un baptème, Monsieur le curé.
Don Camillo : Qui est-ce qui l'a fait ?
Maria : Moi.
Don Camillo : Avec votre mari ?
Maria : Mais naturellement ! Avec qui voulez-vous que je l'aie fait ? Avec vous ?
Don Camillo : Oh, y a pas de quoi se fâcher. J'ai entendu dire assez souvent que dans votre Parti, on est pour l'amour libre.
Maria : Lénine Liberio Antonio.
Don Camillo : Alors, allez le faire baptiser chez les cosaques.
Jésus : Ce que tu viens de faire est affreux ! Rappelle cette femme et baptise son enfant !
Don Camillo : Mais enfin, Jésus, il faut bien Vous mettre dans la tête que le baptême, c'est pas une plaisanterie. Le baptême, c'est...
Jésus : Je sais ! C'est moi qui l'ai inventé, le baptême. Admets que cet enfant meure à l'instant. C'est ta faute s'il ne va pas au paradis.
Don Camillo : Mais pourquoi voulez-Vous qu'il meure ? Il est rose et frais comme une fleur...
Jésus : ...
Don Camillo : Bon, ça va, j'ai toujours tort.
Don Camillo : La mairie, c'est en face, à droite. Ici, c'est l'église !
Don Camillo : N'aie pas peur, je les passerai tous à l'étage supérieur.
Don Camillo : Tais-toi, graine de bolchevique.
Peppone : Liberio Antonio... Camillo.
Don Camillo : Tu l'appelles Camillo ?
Peppone : Oui.
Don Camillo : Alors, tu peux ajouter aussi Lénine. Avec un Camillo à côté, ces gens-là n'existent plus.
Mariolino : Ton curé, il donnerait envie de se faire musulman.
Madame Christina : Alors ?
Scartazzini : Alors voilà. Il faut vous dire qu'on a fait les élections et c'est les Rouges qui ont gagné.
Madame Christina : Je sais. Vilaines gens !
Scartazzini : Les Rouges qui ont gagné, c'est nous !
Madame Christina : Vilaines gens quand même.
Madame Christina : Il est bien temps, maintenant ! Vous n'avez pas honte ? Au lieu de travailler quand c'était le moment ?
Père de Mariolino : À qui la faute ? Vous savez bien, Madame Christina, que si on était plus souvent aux champs qu'à l'école, ben c'était pas pour nous amuser !
Madame Christina : Qui es-tu, toi ? Ah ! Le Brusco de la Bruciata ! Tu es un suppôt de Satan. Mais tu as raison, ce n'était pas de votre faute. [Prenant une règle et tapant avec sur un meuble] Assis !
Conseiller : Ah oui, Madame Christina, il va se marier !
Madame Christina : Hé, Bertrand, et ta belle-soeur, toujours aussi mauvaise, hein ?
Bertrand : Encore plus en vieillissant, Madame Christina.
Peppone : Moi ?
Madame Christina : Oui, toi.
Scartazzini : Oh, mais vous ne pouvez pas, Madame Christina !
Madame Christina : Comment, je ne peux pas ? Un bandit qui venait à l'école avec des grenouilles plein les poches. Et même un jour il est venu monté sur une vache ! Père de Mariolino : Mais, Madame Christina, c'est le Maire !
Madame Christina : Maire ou pas Maire, va-t'en ! Où je te pèle le crâne à coups de règle. Dehors !
Peppone : Je vous l'avais bien dit, je lui en ai fait trop voir... Madame Christina : Et ne remets jamais les pieds ici, même si tu deviens Ministre de l'instruction publique !
Premier et dernier avis. Hier soir encore, une main anonyme et vile a écrit une insulte offensante sur notre journal mural. Que la main de ce malotru se le tienne pour dit : s'il ne cesse pas, il se repentira quand il sera trop tard. Toute patience a ses limites.
Don Camillo : Lire ? Oh non, pas précisément. Juste jeter un petit coup d'oeil. Jésus : Et tu n'as rien vu d'extraordinaire sur l'affiche quand tu t'es arrêté ?
Don Camillo : Ça, non. Je peux Vous assurer, quand je me suis arrêté, y avait rien. Oh, excusez-moi, Jésus, je crois qu'on me demande au presbytère.
Jésus : Don Camillo, reste ici ! Quand tu t'es arrêté, il n'y avait rien. Mais quand tu es parti ?
Don Camillo : À bien y réfléchir, il me semble que quand je suis parti, y avait quelque chose de griffonné au crayon rouge, en bas, à droite... Je Vous assure qu'on m'attend ...
Jésus : Tu n'as pas honte ? Te moquer d'un homme qui n'a que son certificat d'études, parce que tu sais 4 mots de latin.
Don Camillo : Dieu soit avec vous, mon fils. Vous avez plus besoin qu'un autre de Sa Sainte bénédiction. Et depuis quand vous ne vous êtes plus confessé ?
Peppone : Euh... Depuis 1918.
Don Camillo : 1918 ! Imaginez un peu le nombre de péchés que vous avez dû commettre, avec ces idées que vous avez dans la tête !
Peppone : Hélas !
Peppone : ... Enfin, il y a deux mois, alors que vous portiez des oeufs dans un panier, je vous ai battu avec un bâton.
Don Camillo [après un long soupir] : C'était vous, mon fils ?
Peppone : C'était moi. Et le bâton était de chêne vert, tout frais coupé. [re-long soupir]
Jésus : Il n'en est pas question ! J'ai pardonné, tu dois pardonner aussi.
Don Camillo : Seigneur, si j'ai été un bon serviteur, laissez-moi lui casser ce cierge sur le dos. Une bougie, c'est pas grand chose, hein ?
Jésus : Non. Tes mains sont faites pour bénir, non pour frapper.
Don Camillo : Les mains sont faites pour bénir. Mais les pieds ?
Jésus : ...
Don Camillo : Quoi ! Et moi qui t'ai donné l'absolution ! Mais c'est une escroquerie !
Peppone : Oh, ce ne sont pas précisément des péchés, ce sont plutôt des petites fautes. Ne devez-vous pas corriger les erreurs de vos pénitents ?
Don Camillo : C'est notre devoir.
Peppone : Bon ! Alors voilà... [Peppone sort un discours] Citoyens !
Don Camillo : Chut !
Peppone [plus bas] : Citoyens. Dans le moment que nous saluons la glorieuse affirmative de notre liste, il importe...
Don Camillo [sur le point d'exploser] : Jésus, je réponds plus de mes actes !
Jésus : J'en réponds, moi, fais ton devoir !
Don Camillo : Mais Vous Vous rendez compte que Vous me faites travailler pour la Révolution !
Jésus : Tu travailles pour l'orthographe et la syntaxe, qui n'ont pas de couleur politique.
Don Camillo : Bon ! [à Peppone] Venez ici, avec votre littérature !
Don Camillo : C'est une question de règle grammaticale.
Peppone : Ah ! Votre clocher a de la chance que vous soyez si savant. Dommage, nous devons renoncer à l'espoir de vous le voir tomber sur la tête. Don Camillo : Il faut s'incliner devant la volonté de Dieu.
Don Camillo : Mes outils ?
Smilzo : Oui, le seau et le goupillon. Y aura des trucs à bénir...
Peppone : Oh ! C'qui se dit pas, ça se devine.
Don Camillo : Pas tout, pas tout...
Brusco : Si y a des gens qui en doutent, je sais comment m'y prendre avec eux !
Don Camillo [sortant une mitraillette] : Moi aussi.
Peppone : Il me semble qu'il n'y a pas lieu de se disputer...
Don Camillo : C'est bien mon avis, d'autant qu'au fond, nous sommes parfaitement d'accord. Mmm ? Dix millions de récupérés pour le peuple, c'est-à-dire 7 millions pour la Maison du Peuple, 3 autres millions pour la Cité-Jardin des enfants du Peuple : laissez venir à moi les petits enfants. 7 millions plus 3 millions, total 10 millions. Je ne réclame que ce qui me revient.
Don Camillo [à propos du meuglement des vaches] : Elle te plaît cette musique ?
Don Camillo : Tandis que quand une vache est morte, on peut pas la remettre en marche.
Don Camillo : Peppone est borné comme une mule, mais il ne tire pas dans le dos des pauvres prêtres qui font ce que Dieu leur commande.
Don Camillo : C'est dur à digérer !
Autre militant : Oh ! Tu vas voir ta belle ?
Peppone : Don Pietro ?
L'Évèque : Oui, le jeune abbé que vous venez de voir. Lui ne vous fera pas de mal !
Peppone : Cette demi-portion ?
L'Évèque : Oh ! Monsieur le Maire !
Peppone : Excusez-moi, Monseigneur, mais ce petit curetin, si je lui donne une gifle, je l'envoie à 20 mètres. Tandis que si je donne une gifle à Don Camillo, il bouge pas d'un centimètre.
L'Évèque : Mais... mais pourquoi voulez-vous lui donner une gifle ?
L'Évèque : Vous ne jugez pourtant pas la valeur d'un prêtre au mètre et au poids ?
Peppone : Non, Monseigneur, nous ne sommes pas des sauvages. Mais le fait est que l'oeil veut aussi sa part.
Don Camillo : Oh, vous savez, Monseigneur, un moment de faiblesse...
Don Camillo : Non, Monseigneur, j'étais seul, je vous jure. La table est tombée sur eux, ils étaient entassés...
Un abbé : Monseigneur, qu'arrive-t-il ? Vous n'êtes pas blessé ?
L'Évèque : Non, non, taisez-vous. Ce n'est rien. Ce n'est rien. C'est moi. Don Camillo m'a fait mettre en colère, j'ai perdu patience.
Peppone : C'est un immeuble, c'est pas un dirigeable.
Don Camillo : Allons-y, Seigneur. [Soulevant la gigantesque croix] Ils auraient pu la faire un tantinet plus légère, cette croix !
Jésus : À qui le dis-tu ! Moi qui ai dû la traîner jusque là-haut ! Et je n'avais pas ta carrure.
Les communistes : Amen.
Madame Christina : Vous êtes surtout bien bêtes ! Tu ne pouvais pas choisir quelqu'un d'autre que ce brûleur de couvent ? Et toi, il en manque pas, de pétroleuses, dans ta troupe de bandits.
Gina : On n'a pas choisi, Madame Christina. On s'aime.
Madame Christina : Pff ! C'est vrai que d'être idiot, ça n'empêche pas d'être malheureux.
Mariolino : Et alors, tu crois à ces bêtises ? Une future institutrice ! Je te croyais pas arriérée.
Gina : Arriéré toi-même ! Dites-lui, Madame Christina. Dites-lui, à ce malheureux. C'est pas vrai ?
Madame Christina : Elle a sonné quand le vieux Tolli s'est noyé une nuit en 86. Elle a sonné quand la fille du Ponté s'est jetée dans l'eau en 94. Et la dernière fois, en mille neuf cent et douze...
Jésus : Pourquoi t'aurais-je aidé ? 22 jambes d'un côté, 22 de l'autre, une jambe en vaut une autre. Je ne m'occupe pas des jambes, Don Camillo, je m'occupe des âmes.
Arbitre : 2500 lires.
Don Camillo : Dehors, infâme, vipère lubrique, traître !
Jésus : Qui a offert à Binela 2000 lires pour le même service ?
Don Camillo : C'est embêtant, on peut rien Vous cacher.
Don Camillo : La revanche ? 6 à 0 ! 6 à 0, ils verront même pas passer le ballon. Comme ça !
[Il shoote dans son chapeau qui vole dans le confessionnal]
Jésus : But !
Grand-père de Gina : Pas si mauvais que ça ? Le porte-drapeau de cette bande d'enragés ?
Don Camillo : Enragé vous-même ! La faute à qui s'ils sont si nombreux ? C'est la misère qui les pousse, et votre égoïsme à vous et à tous vos pareils. Grand-père de Gina : Madame Christina l'avait bien dit. Vous êtes un prêtre bolchevique !
Madame Christina : Mais je suis sûre d'y aller, au Paradis !
Don Camillo : Vous péchez par présomption. Aucun mortel n'est assuré d'aller au Paradis.
Madame Christina : Aucun mortel, sauf Madame Christina, parce que cette nuit, le Christ est venu dire à Madame Christina qu'elle irait au Paradis, alors Madame Christina est sûre d'aller au Paradis. À moins que vous n'en sachiez plus long que Jésus Christ ?
Peppone : Mais, Madame, je n'ai pas commis de crime !
Madame Christina : Ne mens pas. Toi et les tiens, vous avez envoyé le roi et ses petits enfants sur une île déserte où ils sont morts de faim. Peppone : C'est pas vrai ! Don Camillo, dites-lui, vous, que c'est pas vrai !
Don Camillo : C'est des mensonges, Madame Christina. Pas d'île déserte, pas de morts de faim. Je vous assure. Mensonges, mensonges.
Madame Christina : Quelle démocratie ? Un roi ne se renvoie pas !
Peppone : En qualité de Maire, j'approuve votre décision. Toutefois, comme dans ce village, ce n'est pas le Maire qui commande, mais les communistes, en qualité de chef communiste, je vous dirai que je me fiche de vos conseils. Madame Christina ira au cimetière avec le drapeau qu'elle a voulu. Parce que je la respecte plus, elle morte, que vous tous vivants. Si quelqu'un a une objection à me faire, je le fais passer par la fenêtre. Monsieur le curé a quelque chose à dire ?
Don Camillo [ravi] : Je cède à la violence.
Gina : Je veux me marier !
Don Camillo : Te marier ? Mais il faut être deux !
Gina : Et vous, de la Bruciata, vous êtes des criminels sans Dieu. Je voudrais déjà être ta femme pour t'arracher les yeux !
Mariolino : Et moi, je voudrais être ton mari pour t'assommer de gifles !
Don Camillo : C'est fini, oui ? Si vous n'arrêtez pas, je vous donne une bonne correction à tous les deux. Gina : Le curé veut me battre, lui veut me battre, mes parents veulent me battre. Mais qu'est-ce que j'ai fait au Bon Dieu ?
Gina : Ils lui ont sauté dessus, tous les gens de sa famille ! Parce qu'ils l'avaient vu en train de me faire des signes à ma fenêtre. C'est des brutes de bolcheviques !
Peppone : Qui ça ?
Don Camillo : Mais votre ami, le Smilzo. Qu'est-ce qu'il fabrique avec son pinceau ? S'il peint des corbeaux sur mon mur, moi, je me transforme en chasseur.
Peppone : [Prenant le boeuf] Et voilà Don Camillo.
Don Camillo : Dommage, Monseigneur, que Monsieur le Maire ne vous ait pas montré son dépôt d'armes.
L'Évèque : Oh, je suis bien sûr qu'il n'est pas aussi bien fourni que le vôtre.
Peppone : Don Camillo a même un mortier de 81 enfoui quelque part.
L'Évèque : Je vous avais dit que c'était un homme dangereux. Vous avez voulu le garder, gardez-le !
Don Camillo : Vous vous êtes conduits comme des bandits.
Peppone : Et vous ? Vous m'en avez encore assommé 12 !
Don Camillo : Je regrette de t'avoir laissé entier.
Don Camillo : Il a tous les talents, ce petit.
Peppone : Oui.
Don Camillo : Dommage qu'il ait un père pareil. Enfin, que Dieu le lui garde !
Peppone : Qu'il vous garde aussi ! Et qu'il vous rende aimable, si toutefois c'est possible.
Jésus : Il faudrait un miracle...
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