Citation film Rien à déclarer
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Vanuxem [réveillé en sursaut] : Mais t'es complètement malade ou quoi ? J'ai failli avoir une crise cardiaque !
Vandevoorde : Tu dormais pendant le service, Vanuxem. Tu m'obliges à faire un rapport à Willems.
Vanuxem : Non, j'dormais pas.
Vandevoorde : Si, tu dormais.
Vanuxem : Non, j'dormais pas.
Vandevoorde : Ah non ? Qu'est-ce que tu faisais ?
Vanuxem : Je réfléchissais.
Vandevoorde : Tu réfléchissais, les yeux fermés, la gueule ouverte, avec un gros filet de bave ! Tu réfléchissais !
Vanuxem : Je réfléchissais profondément.
Vandevoorde : Tu me prends profondément pour un con, Vanuxem !
Vanuxem : Hein ?
Vandevoorde : Bon, c'est le contraire. Mais c'est ici même, ici même, tu m'entends, qu'ils les ont arrêtés, faisant de ce lieu anodin la terre sacrée du royaume de Belgique.
Vandevoorde : Vu la taille de cette trace de bave sur ta veste, je pense que tu t'es suffisamment reposé, Wanuxem, non ?
Brioul : On bloque la frontière. Toute la circulation.
Ducatel : Attends, attends, attends... Si on bloque tout, ça veut dire qu'on bosse. Des douaniers qui arrêtent des voitures, c'est des douaniers qui bossent, non ?
Brioul : Eh ben, on laisse passer tous les véhicules !
Lucas : Mais si on laisse passser tous les véhicules, ça veut pas dire qu'on est d'accord avec l'ouverture des frontières ?
Mercier : Mais c'est énorme, cette merde ! On voit même plus mon bureau, là. Et elle est où, ma machine à écrire ?
Ducatel : Vous n'en avez plus besoin, grâce à cet ordinateur, muni d'un logiciel d'écriture, relié par ce cable à une imprimante, elle aussi informatique.
Mercier : Si jamais c'est une embrouille pour me piquer mon papier carbone, ça va chier, hein !
Ducatel : Ah non, chef, je l'ai jeté, votre papier carbone.
Ducatel : Mais c'est l'avenir, chef !
Mercier : Oui, ben mon avenir à moi, c'est ma machine à écrire et mon papier carbone !
Vandevoorde : Refais l'accent belge et je t'explose ta gueule, t'as compris ? Ducatel : J'ai pas fait l'accent belge !
Vandevoorde : Ah non ? Juste une fois, une fois !
Ducatel : J'te jure, que j'faisais pas l'accent belge ! [forçant sur l'accent] Là, je fais l'accent belge, une fois, ça je sais fairre ! Mais avant, je ne faisais pas l'accent belge, nom d'une frrite !
- Ben, c'est souvent les mêmes, hein !
Tiburce [souriant d'un air bête] : Comme ça ?
Duval : T'as pas l'air innocent, là, t'as l'air complètement débile.
Tiburce : Pardon, Monsieur Duval, je sais pas comment on fait une tête d'innocent. Depuis tout petit, je suis coupable. J'ai toujours été coupable.
Duval : Bon. Il faut que tu sois à la fois cool, mais tendu.
Tiburce : Cool, mais tendu...
Duval : Mais pas trop cool, sinon le douanier sent que tu as un truc à te reprocher. Et pas trop tendu, sinon le douanier sent que tu as un truc à te reprocher. Tu comprends ? Tiburce : Oui, oui, oui...
Duval : Regarde moi. Comme ça.
Tiburce : Ah, oui, c'est bien. Comme ça, quoi. [même sourire bête qu'avant]
Duval : Te fais pas arrêter, c'est mieux.
La Balle : Ouais.
Duval : "Ouais". Ben alors, il est où le "u" de "ambulance", tête de noeud ?
La Balle : Y a un "u" dans "amblance" ?
Duval : Quoi... attends... redis voir.
La Balle : Amblance. Amblance, quoi. [il imite le bruit du gyrophare] Amblance, c'est ça qu'est-ce qui faut que je fais, non ?
Fils : En Belgique.
Vandevoorde : La Belgique qui est... ?
Fils : Le plus beau des pays.
Vandevoorde : Ouais. Là, je suis dans quel pays ?
Fils : Dans la France.
Vandevoorde : La France c'est un pays de gros... ?
Fils : De gros abrutis.
Vandevoorde : Est-ce que nous venons, nous les belges, chez vous en France, prendre de l'essence française ?
Automobiliste : Ben non, parce qu'elle est plus chère, donc...
Vandevoorde : Plus chère qu'en Belgique.
Automobiliste : Ben oui.
Vandevoorde : Comment ça, "ben oui" ? Votre essence serait meilleure que la nôtre, c'est ça que vous voulez dire, mmh ?
Automobiliste : Pas du tout. C'est que chez nous y'a plus de taxes, c'est pour ça que chez vous elle est moins chère, non ?
Vandevoorde : Si notre essence belge est moins chère en Belgique, c'est parce qu'elle est pour nous. Allez, fous le camp !
Willems : Vous êtes francophile, maintenant ?
Vandevoorde : Oui. La France, quel beau pays.
Willems : Eh bien, ça tombe bien. Parce que je vous ai justement désigné pour expérimenter une équipe de douane volante mixte.
Vandevoorde : Homme-femme ?
Willems : Franco-belge.
Vandevoorde [au bord du malaise et presque aphone] : Quelle belle idée, chef. Non, je dis, "quelle belle idée". Mais pas moi. Je ne pourrais pas. Non, ça, c'est au-dessus de mes forces. Non, non, tout mais pas ça, chef, s'il-vous-plaît. Non, non, s'il-vous-plaît.
Vanuxem : Non.
Vandevoorde : Parce qu'ils rient trois fois. Ils rient quand on leur raconte, ils rient quand on leur explique et ils rient quand ils la comprennent.
Tiburce [avec son sourire "cool mais tendu"] : Je transporte un blessé grave qui doit subir une transplantation d'urgence. Il est entre la vie et la mort.
Vandevoorde : Et ça vous fait sourire !
Tiburce : Non.
Vandevoorde : Si.
Tiburce : Oh non.
Vandevoorde : Si. Vous souriez, là.
Tiburce : C'est parce que j'essaie de rester cool. Mais je suis tendu.
Tiburce : Non. Ça dépend.
Vandevoorde : Ça dépend de quoi ?
Tiburce : Ça dépend des organes.
Vandevoorde : Vous bouffez le pain des belges. C'est ça ?
Tiburce : Je mange pas de pain, je suis au régime.
Vandevoorde : Ah ouais ? Et tu m'arrêterais pour quoi ?
Ducatel : Eh ben, tu viens de passer la frontière avec de la drogue, là, non ?
Lucas : Bravo, Mathias, t'as bien fait. C'est tout ce qu'il mérite.
Nadia : J'ai peur que ça le rende encore plus con.
Brioul : C'est impossible, il est au maximum.
Vandevoorde : Même une brebis armée qui tire dans le dos d'un français qui court ? Curé : Tu as tiré dans le dos d'un français ?
Vandevoorde : C'est pas tellement de lui avoir tiré dessus qui me pose problème. C'est que, quand je l'ai touché, et qu'il est tombé, j'ai éprouvé une immense satisfaction. Comme de la joie. Presque de la volupté. [le curé se met à prier] Et là, je sens que c'est mal, mon père.
Vandevoorde : Mon père.
Curé : Oui, mon fils ?
Vandevoorde : Non, mon père. Ça vient de mon père, mon père à moi.
Vandevoorde : En enfer ? Pour l'éternité ? Moi ?
Curé : Oui, car jamais tu ne passeras la douane du paradis.
- Non !
- Sauf à moi.
Willems : Ça, c'est un téléphone portable GSM. Le premier de la brigade mixte.
Mercier : Vous avez vu comme c'est petit !
Vandevoorde : Parce qu'on n'est pas une douane, ici. Regarde-nous, on a l'air de deux clowns. Ils nous prennent pour une blague.
Vandevoorde : C'est un contrôle douanier, Monsieur.
Automobiliste : Contrôle douanier ? Ah bon !
Vandevoorde : Comment ça "ah bon" ?
Automobiliste : Ben, je sais pas. Vous avez plutôt l'air d'être en panne ou perdus, là.
Vandevoorde : Très bien. Alors qu'est -ce qu'on fait, Monsieur Je-sais-tout ?
Ducatel : Ben... on note sa plaque... [le véhicule disparait à l'horizon] ou alors on le poursuit, mais on lui tire pas dessus. On est en France, ici. Juridiction française, c'est moi qui décide. Donc, je te propose qu'on le poursuive. Qu'est-ce que t'en penses ?
Vandevoorde : Avec ça ?
Louise : Ah bon.
M. Vandevoorde : Oui, flamand-wallon. Un vrai belge, quoi.
Vandevoorde : Pourquoi tu lui achètes de l'eau française ?
Louise : Elle est très bonne, cette eau.
M. Vandevoorde : Non, elle a un mauvais goût.
Louise : Merci de ton aide, Ruben.
Vandevoorde : Y'a pas de quoi. [Il prend le verre de son père, goûte l'eau et fait la grimace] T'as raison, papa, elle râpe un peu. Elle a un petit goût sec.
Louise : De l'eau sèche, mais bien sûr. Tu débites un nombre de conneries à la minute, toi, c'est impressionnant.
Vandevoorde : Mais quel racisme ? C'est pas parce qu'on préfère son pays qu'on est racistes. Hein papa ?
Irène : Mais mon mari est très malade. Il souffre d'une maladie incurable qui le ronge petit à petit.
Jacques : C'est vrai que je dois dire... je suis très malade.
Irène : Et du coup, on veut profiter un peu de sa maladie. Enfin, je veux dire... prendre un petit peu de temps pour...euh...
Jacques : Pour que je puisse mieux guérir, déjà... et que j'aie un peu de temps, euh... pour la guérison, quoi.
Duval : Prendre du temps pour guérir d'une maladie incurable.
Jacques : L'espoir fait vivre, comme on dit.
Duval : Ne vous fatiguez pas avec votre baratin, je suis au courant de votre situation financière dramatique.
Vandevoorde : Parce que c'est des connards de frouzes.
Ducatel : Mais non, c'est parce qu'ils sont jaloux.
Vandevoorde : Jaloux de quoi ?
Ducatel : Mais jaloux de toi. T'es le meilleur douanier de toute la frontière franco-belge, non ? Vandevoorde : Probablement, oui.
Ducatel : Ouais, tu pourrais garder la frontière à toi tout seul. Du coup, ils t'arrivent pas à la cheville et ils te le font payer en se foutant de ta gueule.
Vandevoorde : Tu crois ?
Ducatel : Mais oui, ils t'en veulent d'être le meilleur. Dans le fond, c'est une grande marque de respect.
Vandevoorde : Les blagues belges, c'est du respect ?
Ducatel : De la pure admiration.
Vandevoorde : Mais tout à fait. Et par exemple, le franc belge. Le FRANC belge ! C'est une aberration.
Ducatel : Pourquoi pas le "belgar" ? Comme le dollar. Le belgar !
Ducatel : Mais c'est plus que les jantes, hein ?
Vanuxem : Oh la, elle est magnifique.
Vandevoorde : Mais on a le droit de mettre un si gros moteur dans une 4L ?
Garagiste : Pourquoi on pourrait pas, hein ? Tout du Renault ça, rien que du Renault. Que du Renault, hein !
I believe I can touch the sky
I think about it every night and day
Spread my wings and fly away
I believe I can soar
I see me running through that open door
I believe I can fly
I believe I can fly
I believe I can fly
Duval : Fais-le pour moi. Tu sais, c'est une pratique très courante. Tu ne seras ni le premier, ni le dernier.
Tiburce : Ça rentrera jamais.
Duval : Mais si. Il faut que tu sois bien détendu, ça passera tout seul.
Tiburce : C'est pas possible. Je sens bien que j'ai pas la place.
Duval : Ne pars pas défaitiste. Tiens, regarde. Tu rentres les petites en premier et puis les grosses suivront.
Tiburce : Je peux en mettre deux ou trois dans ma doublure de veste, non ?
Duval : Ah non, non, non. On ne prend plus aucun risque, tu dois tout mettre dans ton... J'te laisse, j't'attends dehors. [Il lui donne un tube de vaseline] Tiens. Pis si t'as besoin d'aide, tu m'appelles pas.
Tiburce : Et une fois la livraison effectuée, je ramène l'argent de la même manière ?
Vandevoorde : C'est vrai, ça. Pourquoi le chien, il te renifle le cul ?
Tiburce : Non, c'est normal. Tous les chiens, ils reniflent les culs. C'est même l'activité favorite des chiens, non, renifler les culs ?
Vandevoorde : Ah non, les chiens reniflent le cul des autres chiens, pas des hommes. Et t'es pas un chien, que je sache.
Tiburce : Mais j'ai un chien. Il doit sentir que j'ai un chien.
Vandevoorde : Tu sais ce qu'on va faire ? On va aller à l'hôpital, on va faire une radio. Tiburce : Pour quoi faire ?
Ducatel : Pour essayer de comprendre pourqouoi t'as le cul qui sent le chien.
Ducatel : Ah ben, voilà !
Tiburce : Non ! C'est pas possible !
Vandevoorde : Comment, c'est pas possible ?
Ducatel : Tu t'es rendu compte de rien, peut-être ?
Tiburce : Ben non. Sincèrement, je sais pas ce que cette drogue fait dans mon cul. On a dû la mettre à mon insu.
Vandevoorde : Y'a un mec qu'est venu, il est venu te mettre 30 boulettes de drogue dans ton fion et tu sais pas comment !
Tiburce : Mais oui. Oh, mon Dieu ! Mon Dieu, mon Dieu...
Ducatel : Mais comment c'est possible ?
Tiburce : Mais j'en sais rien. Justement, je cherche.
Vandevoorde : C'est peut-être ça le souci, c'est que les hommes lui ont rien fait.
Ducatel : Merci, Ruben. J'suis tellement heureux qu'on devienne beaux-frères !
Vandevoorde : On en reparlera après le divorce.
Jacques : Je savais pas que c'était de la drogue, hein ! J'te jure, Irène ! A chaque fois, il me disait que c'étaient des cigarettes.
Vandevoorde : Parce que c'est pas le premier voyage ?
Jacques : Non, c'est le cinquième. Hein, Minou ?
Irène : Tu ne peux pas en éviter une ou deux de temps en temps, toi, non, hein ?
[le conducteur descend, c'est un asiatique] Putain, un chinetoque !
Fils : Mais papa, elle est pas aux chinois aussi, la Terre ?
Vandevoorde : Si, mais pas de ce côté là.
- Mais on est supérieur.
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C'est vrai qu'il est particulièrement ... ein,
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